Les rendements de blé tendre ne devraient être qu’en légère baisse cette année en France, en dépit de la sécheresse et des intempéries du printemps. Les céréaliers se consoleront avec des prix élevés.

Sécheresse, grêle, gel, orages… Le printemps a été éprouvant pour les céréaliers français, passés par une série d’aléas climatiques extrêmes au moment où leurs cultures étaient à un stade crucial de leur croissance. Mais alors que les moissonneuses-batteuses sont sorties depuis quelques jours dans le sud de la France, les premières estimations de récolte se révèlent moins catastrophiques que prévu pour les moissons 2022. Une récolte stratégique, dans un contexte où la guerre en Ukraine et les sécheresses dans plusieurs zones du monde pèsent sur les disponibilités mondiales de blé tendre.

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